Nous sommes cinq étudiant.es du lycée agricole Garcia Lorca à Théza. Dans le cadre de notre BTSa, nous travaillons depuis un an et demi en cours de français, techniques documentaires, SES et ESC, sur une épreuve terminale dont le thème est la jeunesse.
En Education Socio-Culturelle, nous avons dû mener un PCA (Projet Culturel Argumenté) qui consiste à organiser un projet et à le présenter devant un groupe. Nous avons créé un montage vidéo composé de plusieurs extraits de documentaires de l’INA (Institut National de l’Audiovisuel). Le thème du projet tournait autour de la jeunesse et plus particulièrement, de la vision qu’avaient les jeunes des années 1960 sur la vie dans les années 2000. Les sujets abordés allaient de l’éducation, des programmes du lycée, du port de l’uniforme aux sujets de la vie quotidienne comme l’habitat, l’art et la mode.
Des générations différentes
Depuis plusieurs générations, nous pouvons constater de réels changements concernant la jeunesse, que ce soit au niveau du mode de vie ou de l’éducation.
La première vidéo sur l’éducation n’a pas éveillé beaucoup de questions de la part du public, cependant elle a été l’occasion de rappeler des changements historiques concernant : l’accès gratuit à l’école (1882), l’école obligatoire jusqu’à 16 ans (1959) ou encore la mixité à l’école (1968). Cela a permis à tout le public de se remémorer les bases de l’école publique telle qu’on la connaît aujourd’hui.
La seconde vidéo concernant le port de l’uniforme, également peu commentée, a quand même fait réagir le public à propos de la notion d’égalité que l’uniforme pouvait apporter au sein des écoliers.
La troisième vidéo nous a permis de constater que l’ancien programme du lycée n’était pas si différent que celui d’aujourd’hui.
La dernière vidéo a notamment laissé place à des discussions sur le changement climatique et les différents enjeux environnementaux.
Nous avons posé la question «Que sera notre vie dans 50 ans ?»
Tous, sans exception, ont répondu vaguement en disant que la vie sur Terre ne serait pas assurée avec le changement climatique et la pollution. La vie dans les villes et les campagnes pour eux sera remplie d’ordures que les humains continueront d’entasser, le climat sera plus chaud qu’aujourd’hui et la mode suivra ce sens en créant peut être des habits encore plus découverts ou comme les berbères du Sahara.
En conclusion
Durant cette soirée ciné-débat, toutes les personnes ont participé avec plus ou moins d’entrain. Le travail au sein de notre groupe s’est divisé de manière équitable, la mixité de notre groupe nous a aussi permis de trouver une complémentarité, que ce soit au niveau de la création du montage vidéo, ou des recherches bibliographiques.
Suite à plusieurs retours, nous avons pu constater que notre projet est apparu comme très intéressant aux spectateurs et très varié au niveau des thèmes sélectionnés.
Pauline, Quentin, Nicolas, Kheira et Phonethip