Les espèces invasives sont un danger bien réel pour nos écosystèmes.
Les élèves de TG observent les espèces invasives sur la côte rocheuse.
Le mercredi 13 mars, les élèves se sont déplacés sur un site naturel remarquable, les criques de Porteils, pour étudier l’impact des espèces invasives (appelées aussi espèces exotiques envahissantes).
Figuier de Barbarie et griffe de sorcière ont colonisé de nombreux secteurs de la côte Vermeille.
Transportées volontaires ou involontairement, de nombreuses espèces ont été introduites par l’Homme de retour de ses voyages, contribuant ainsi à enrichir considérablement la biodiversité locale.
La griffe de sorcière, une espèce très invasive, prend la place des espèces locales.
Néanmoins, une très faible quantité d’entre elles, environ 1 espèce pour 1000, est qualifiée d’invasive. Dans ce cas, l’espèce concernée possède des caractéristiques qui lui permettent d’être plus compétitive que les espèces indigènes. Ces espèces remplacent alors les espèces locales, bouleversant profondément les milieux naturels et mettant en danger la biodiversité de nos territoires.
L’armérie du Roussillon et le polycarpe de Catalogne, des espèces protégées en danger.
C’est le cas de la côte Vermeille où les figuiers de Barbarie et les griffes de sorcière recouvrent aujourd’hui de nombreux rochers littoraux.
La propagation de ces espèces invasives s’est faite grâce à l’Homme, dans ce cas précis, le camping des criques de Porteils.
Une nouvelle sortie sur le terrain en écologie qui permet d’appréhender concrètement cette problématique des espèces invasives.
Vue magnifique depuis le sentier du littoral, un sentier très prisé des randonneurs.
Des conditions climatiques idéales pour étudier les espèces invasives.
